Nous travaillons beaucoup avec les auxiliaires, c’est une science très précise qui demande beaucoup d’observation, d’attention et doit pouvoir répondre rapidement aux invasions.
- Loïc Péré
Certains auxiliaires vivent à 14 degrés environ. Par exemple nous utilisons les afidus pour lutter contre les pucerons. Si on a 4 ou 5 jours de retard (dans notre observation), la culture peut être très vite dévastée, même si on met le double d’auxiliaires, rien n’y fera. Il faut intervenir au bon moment, ni trop tôt, ni trop tard.
Quand c’est la période, toutes les semaines, il faut introduire, en utilisant des repères, les auxiliaires, afin que leur population puisse se développer.